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1368 . - ¦ . . XETTI^E SVRr lJ'jLRT.-T* ...
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In Introducing Tlie Following" Paper To ...
, Or le public qui , pour le plus grand nombre _> ne fait point de rjmusiet n ' en peut juger qu ' a ; _l'aide ; du sens communa trouve
( et prouve que ) que Gluck etait un des plus grands musiciens qui , soient _encore parvenus a notre eonnaissance , et qu ' OrpL . ee etait une oeuvre
_# res musieale . - , , Qu ' est ce que la musique ? Platon _comprenait sous ce titre en
. . general tout ce qui proeede des Muses , _c ' est-a-dire tous les beauxcarts . Aujourd'hui on appelle specialement musique la science du .
chant , que ce chant sorte d _' un instrument inerte ou d ' une poitrine ¦ ¦ ¦;¦ ¦¦ ¦ • ¦ ' ¦ ¦ ¦¦' _vivante . . . , _;> . , .
-: ¦ . - Mais en quoi consiste cette science ? Est-ce une eombinaison mathematique des vibrations de l ' air a travers line machine quelr
_conque Est-ce ? un divertissement enfantin du sens de _Touie qui se plait
aux sons comme 1 ' ceil aux couleurs , et au rhythine _^ comme les _dleurs au balancement de la brise ?
Est-ce la voix de Tame palpitante qui sent la vie en elle , et qui cherche a _Tepancher au dehors dans un langage exclusivement
_consacre par la nature a eette sublime fonction ? Oui , certes , la musique est cette voix de la vie interieurej et toute
autre interpretation ne pourrait venir que d _' un esprit perdu de tenebres .
; La musique est le verbe du sentiment , comme la parole est le _verbe de la pensee . Elle est inspiration et reflexion , mais inspi _^
ration d _' albord . : a quoi bon les savants calculs . de la theorie , les bruyants eclats de _Forchestre , si 1 _'inspiration etait absente ? seconde L'harr
monie est la rhetorique musicale , et la rhetorique n ' est que la partie de 1 ' eloquence . II est dit dans la parabole : Le corps estr il moins le vetement ? Et le corps de la musique _n'est-cerpas
que le JLa sentiment melodie , _Tinsp est iration toute la , la musi melodie ? des ames neuves comme des : que
_^ - peup premier les primitifs coup , tandis . Cest _qu'ils elle restent _qu'ils froids comprennent , deconcertes et , s et ' assimilent se fatiguent du
vtteen entendant une musique surcharge e et froidement savante , qu : ' II ils se ne comprennent eut des pas oreilles . habituees aux orchestres monstres se > _^
trouvent p comm que e a jeun devant la simplicite / nous dirions presque la nudited ' un de Gluck . Non qu'il ne possede a fond les
secrets de , la science opera aussi bien que les inspirations de 1 ' ame . Gluck , Baonde est un genie de le juger sobre comme mais comp harmoniste let , et , _s' il il sufiit n ' est d pas ' etre donn Ibien e a _organist tout le _>
sent pour le le soleil sentir : par comme le bien melodiste qu'il fait ; , Comment pour le sentir done peut comme -on reprocher la nature
_bords ces a Gluck phrases ! La de man larges m 61 pdie qu , er colorees n de ' existe melodie , insp -t-elle ire ? es Ne done , d pas ' ou que r se servent aine sentir dans s _' epanche de les _transports theme gracieuses a pleins aux par _fantaisiesles viilonflons qui
quadrilles , de ou Strauss et goureux ' < _ai 2 bc concerts des orgues de barbarie ? Ah . !
1368 . - ¦ . . Xetti^E Svrr Lj'jlrt.-T* ...
1368 . - ¦ . . XETTI _^ _E _SVRr lJ ' jLRT .-T * )
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Citation
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English Woman’s Journal (1858-1864), Feb. 1, 1862, page 368, in the Nineteenth-Century Serials Edition (2008; 2018) ncse.ac.uk/periodicals/ewj/issues/ewj_01021862/page/8/
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